Dans les photographies d’Isabelle Binder-Lindbergh, les nuages ne sont jamais de simples figurants. Ils dessinent un univers en suspension, un territoire mouvant où l’imaginaire s’égare. Baudelaire les appelait « merveilleuses constructions de l’impalpable » , tandis que Proust les voyait comme des formes fugaces séduisant l’esprit par leurs incessantes métamorphoses. Pour Isabelle, ils incarnent le dialogue subtil entre l’humain et l’immensité, un écho visuel à son voile argenté qui traverse ses clichés comme une métaphore vivante.
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Lieu privé